5. Les gouvernements qui ont légalisé le suicide assisté n’ont pas de problèmes. Pourquoi ne pas seulement suivre ces modèles?

  • Une cour d’appel irlandaise n’était pas d’accord. Dans une décision de janvier 2013, cette juridiction a examiné la même preuve que celle utilisée par le tribunal de la Colombie-Britannique dans l’affaire Carter, l’étude a trouvé qu’il existait des preuves que les personnes âgées et les personnes handicapées sont à risque d’abus en vertu des lois sur euthanasie et le suicide assisté.
  • Le journal de l’association médicale canadienne (JAMC) a publié un article le 15 juin 2010 (JAMC Juin 15, 2010, vol. N ° 182 9. 895-901). Il a examiné médicalement la mort assistée en vertu de la loi sur l’euthanasie en Belgique, une étude basée sur la population. Les résultats sont les suivants:
    • Sur les 208 décès liés à la mort médicalement assistée, environ 66 étaient sans demande explicite.
    • Sur ces 66 décès, la décision n’a pas été discutée avec 77,9% de ces patients.
  • Dans d’autres pays où le suicide assisté et l’euthanasie sont légaux
    • Bien que les médecins sont censés rendre compte par écrit des ordonnances fatales ou de pratiquer l’euthanasie, il n’y a aucun moyen de s’assurer qu’ils le font. Les données sont fondées uniquement sur les personnes qui le signalent, on ne peut pas suivre les cas d’euthanasie qui ne sont pas déclarés.
    • Des problèmes ont été documentés dans les médias et par des études qui suivent les décès par cause.
  • Les données de l’Oregon et d’autres endroits qui prennent en charge le suicide assisté ne sont pas fiables parce que les faits sont cachés et déformés:
    • les décès par suicide assisté ne sont pas répertoriés comme des suicides, mais comme la raison de la maladie sous-jacente.
    • Il n’existe pas de données recueillies auprès de médecins qui refusent les demandes de suicide assisté (pourquoi ont-ils refusé, ce qui est arrivé à la personne par la suite).
    • Bien que les médecins soient censés rendre compte par écrit des prescriptions mortelles, il n’y a aucun moyen de s’assurer qu’ils le font.
    • Les médicaments ne sont pas suivis après que l’ordonnance est exécutée.
    • Après que les rapports statistiques annuels sont produits, la documentation est détruite, ce qui empêche une analyse plus approfondie.
TVNDY