- Si une personne choisit de se suicider, c’est sa décision. La perte de quelques mois de vie pour certaines personnes doit être mise en balance avec le risque que beaucoup plus de personnes perdent la vie alors qu’elles ne veulent pas mourir à cause d’erreurs et d’abus qui sont susceptibles d’arriver, si la loi est modifiée.
- En disant que des personnes handicapées sont admissibles à être tués tandis que d’autres ne sont pas, le gouvernement met son sceau d’approbation sur le genre d’erreurs et d’abus qui se passe déjà.