Archive des webémissions: Évaluation de la compétence

Aujourd’hui, nous discutons du lien entre souffrance et compétence dans les demandes de suicide assisté, y compris l’histoire de Michael Freeland.

Dans cet épisode de l’Euthanasie et l’incapacité, Amy Hasbrouck et Christian Debray discutent:

  • Les évaluations pour la capacité et dépression

Veuillez noter que ceci n’est qu’un script et notre webémission inclut des commentaires additionnels.

  • La loi de la capacité incarne le conflit entre le respect pour l’autonomie de l’individu et le désir de la société à protéger la personne.
  • La loi sur la capacité est façonnée de lois adoptées par les législatures et les causes judiciaires précédentes
  • En général, la capacité veut dire l’aptitude et les qualifications juridiques de prendre une décision pour faire quelque chose.
  • L’aptitude de prendre une décision …
    • La capacité à comprendre les renseignements pertinents
    • La capacité d’apprécier les conséquences raisonnablement prévisibles.
    • La capacité à manipuler l’information de façon rationnelle
  • …les qualifications juridiques
    • La capacité est décidée, en générale, par un tribunal.
    • Dans de nombreuses instances, un médecin fait une recommandation, qui est approuvé par un tribunal
    • La personne est présumée être capable sauf s’il y a “des preuves claires et convaincantes” du contraire.
  • …pour prendre une décision
  • … à faire quelque chose – cela dépend de ce qu’on veut faire, tel que :
    • conclure un contrat ou acheter une maison
    • préparer un testament,
    • subir un procès,
    • de prendre des décisions médicales – catégorie fourre-tout dont les items on des conséquences largement diverses.
      • Accepter de recevoir un traitement ou de choisir parmi différents traitements – peser avantages v effets secondaires.
      • Refuser un traitement – Danger de mourir
      • Demander le suicide assisté – Mourir.
    • Les questions d’évaluation de la capacité pour un traitement médical. Comprend-t-il la personne …
      • l’état de santé actuel?
      • le cours naturel et les résultats de l’état de santé actuel?
      • l’intervention de traitement proposé?
      • les risques et / ou les avantages du traitement proposé?
      • ce qui est susceptible de se produire si on refuse le traitement proposé?
      • les options alternatives au traitement proposé?
      • Les risques et les avantages des options alternatives?
    • Les chercheurs Susan Block et Andrew Billings décrivent une autre façon de déterminer si quelqu’un est apte à demander le suicide assisté. Ils regardent :
      • La souffrance physique,
      • La souffrance psychologique
      • La capacité de prendre la décision
      • La souffrance sociale
      • La souffrance existentielle / spirituel
      • Les Problèmes dans la relation avec son médecin (s)
    • Un autre critère d’évaluation : La démoralisation
      • Perception d’incompétence,
      • Sentiment de n’être plus capable
      • le désespoir,
      • l’ennui existentiel,
      • Sens de futilité et de l’absurdité
    • Les chercheurs Grégoire & Catherine Hamilton ont examinés les demandes de suicide assistés dans l’Oregon. Ils ont comparés l’évaluation clinique et le traitement pour les comportements suicidaires, contre la détermination de la capacité pour le suicide assisté.
    • Caractéristiques du modèle de traitement clinique
      • S’applique à tous ceux qui sont suicidaire
      • Les sentiments suicidaires sont un symptôme d’un problème qui peut et doit être traitée.
      • La demande de suicide est un appel au secours pour soulager la souffrance.
      • La vie est précieuse et doit être sauvé.
    • Caractéristiques du modèle de suicide assisté
      • S’applique uniquement aux personnes en situation de handicap suicidaires qui “souffrent”
      • Les sentiments suicidaires sont perçus comme une réponse raisonnable à la situation de la personne.
      • La demande de suicide assisté n’est qu’un appel à l’aide à mourir.
      • La mort est préférable à la vie en situation de handicap ou avec une maladie.
    • Que faut-il rechercher (d’après le modèle de la prévention du suicide) dans une évaluation de la personne?
      • L’apparition et la récurrence des symptômes psychiatriques
      • Des épisodes et les traitements antérieurs similaires
      • De nouveaux stresses,
      • Des difficultés sociales et économiques,
      • Des inquiétudes religieuses ou spirituelles
      • Les symptômes de la dépression, l’alcoolisme et la toxicomanie.
      • Les médicaments qui peuvent causer ou exacerber des troubles psychiatriques,
      • Des cancers ou d’autres maladies connues pour causer la dépression ou l’anxiété,
      • L’adéquation du contrôle de la douleur,
      • Si oui ou non la personne est persuadé qu’elle recevra des soins adéquat pour ses symptômes.
      • Les sources d’espoir, d’estime de soi, et de la force
      • La gravité et l’urgence de l’intention suicidaire et la disponibilité des moyens, y compris l’accès aux armes à feu et aux médicaments potentiellements mortels.
      • des sentiments mitigés de la personne concernant son décès
    • Les objectifs du traitement
      • «comprendre et soulager le désespoir sous-jacent à la demande de suicide assisté”
      • Éviter de devenir un «portier», qui mettrait l’accent seulement sur les questions de capacité
    • S’occuper de la personne :
      • Les sentiments d’inutilité, la démoralisation
      • Les sentiments de culpabilité nécessitant rassurance
      • Les pensée noir et blanc, en rejetant les solutions possibles
      • Les sentiments complexes envers leurs médecins
    • Les médecins doivent faire face à leurs propres sentiments :
      • Des personnes en situation de handicap, et de l’incapacité
      • Les échecs à guérir et sauver les vies.
    • Que faut-il chercher d’après le modèle de compétences – Capacité à prendre une décision
      • Le manque d’information
      • coercition
      • troubles mentaux (ne disqualifie pas)
    • Les objectifs de traitement – la mort.
    • Le cas de Michael Freeland dans l’Oregon
      • Il avait déjà essayé se suicider après le suicide de sa mère
      • Après un diagnostic de cancer, il voulait demander le suicide assisté
      • Il était alcoolique
      • Il n’a vu aucune utilité dans le traitement pour le cancer
      • Il avait des caméras de surveillance sur sa propriété et beaucoup d’armes chez lui.
      • Il a reçu une ordonnance létale, sans évaluation psychiatrique, malgré ses antécédents suicidaires.
    • Regardons le traitement de prévention du suicide fournie par une bénévole contre les conseils fournies par deux médecins choisi par Compassion & Dying; des partisans du suicide assisté.
      • Retrait des moyens de suicide contre la fourniture des moyens de suicide.
      • La considération de la dépression de M. Freeland contre l’indifférence de Compassion & Dying envers son histoire de problèmes mentaux
      • La prise aux sérieux des menaces suicidaires de Freeland en raison de tentatives précédentes, contre le manque d’intérêt dans les tentatives de suicide antérieures.
      • Provision du soutien de santé mentale et recommandations des antidépresseurs, contre fournir les conseils pour un suicide assisté, sans reconnaissance de ces antécédents suicidaires et qu’il avait été déterminé incompétent par un psychiatre.
      • Organisé des soins contre la douleur et des soins palliatifs, contre offrir de s’assoir avec lui alors qu’il a pris la dose létale.
      • La bénévole lui a rappelé qu’elle ne voulait pas qu’il meure.
    • D’autres médecins ont été mis dans une impasse face à une personne suicidaire, qui avait reçu une prescription mortelle par un autre médecin.
TVNDY